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Réduction de l’empreinte carbone
passe
au vert !
encore plus !
Engagement
écologique
Nous sommes fiers d’avoir été la première moto école à œuvrer pour la réduction du bilan carbone de vos formations.
Notre impact sur l’environnement
Même si on est loin des émissions d’une industrie lourde, notre activité d’école de conduite contribue à son échelle à la multitude de rejets des activités humaines dont on comprend désormais les conséquences sur l’environnement.
Bien-sûr on pense en premier lieu à la consommation de carburant de nos quelques 50 machines. Mais l’activité d’une moto-école, c’est aussi une consommation régulière en composés directement issus de l’industrie pétrochimique : pneus, plaquettes, huile de synthèse, graisses diverses. Sans compter les pièces de rechange composites ou métalliques, dont l’extraction, la fabrication et le transport ont un impact à chaque étape avant de nous parvenir. Enfin, notre travail en agence génère entre autres une consommation de papier et d’encre d’imprimante.
Réduire notre empreinte CO2
Depuis de nombreuses années déjà, Zebra trie ses déchets et lubrifiants moto.
Dès la fin 2014, dès que la loi ne nous empêchait plus de dématérialiser certains éléments de vos dossiers, nous avons informatisé votre fiche de suivi, ce qui a permis de nous débarrasser du livret d’apprentissage, de la fiche de suivi et de sa pochette plastique. Une partie des documents que nous imprimions auparavant, est désormais communiqué par e-mail. Pour le reste, nous optons au maximum pour l’emploi de papier issus des filières vertes, notamment pour toutes nos publications commerciales.
En 2015, nous avions l’ambition aller plus loin dans notre engagement en contribuant pour réduire les émissions carbone du corps de notre métier. Dans le secteur moto-école, nous avons été les premiers à le faire. Nous le faisons avec le double souci de participer aux efforts citoyens, et de continuer à innover.
Trouver le bon
partenaire
Pour atteindre cet objectif, nous nous sommes tournés vers Planète Urgence.
Une ONG française de solidarité internationale créée en 2000 et reconnue d’utilité publique le 3 juin 2009. Planète Urgence s’emploie à compenser la conversion en terres agricoles, l’urbanisation et l’exploitation abusive d’essences tropicales. Par son intermédiaire, nous transformons chacune de vos formations en activité durable qui participe à un effort de reforestation.
Un arbre planté :
_produit de l’oxygène
_stocke du carbone présent dans l’atmosphère
_contribue au maintien de la diversité des espèces végétales et animales
_régule le cycle de l’eau
_protège et fixe les sols
_favorise l’équilibre climatique
Sur place créer une forêt, c’est aussi :
_un moyen de participer à la sécurité alimentaire et économique
des populations les plus vulnérables
_une source d’énergie renouvelable pour des millions de personnes
_un matériau de construction et une source de revenus durables
pour de nombreux artisans et leurs familles
_reconstituer le cadre de vie de communautés pour lesquelles
la forêt fait partie intégrante du mode de vie
Les hauts plateaux de
Madagascar
RÉSUMÉ
Grâce à l’expertise de Planète Urgence, Zebra participe au projet de reforestation des hauts plateaux de la région Itasy, à Madagascar et à la structuration de la filière soie. Le projet de reforestation mené à Madagascar vise à restaurer les forêts de la région Itasy tout en accompagnant le développement économique des populations rurales.
Un important travail sur la filière soie permet de lutter contre la pauvreté qui reste aujourd’hui la principale cause de déforestation. Les familles réapprennent ainsi à exploiter durablement les espaces forestiers et leurs multiples ressources.
CONTEXTE
Planète Urgence intervient sur les hauts plateaux de Madagascar, dans les forêts de tapias de la région Itasy. Les forêts de tapias sont endémiques de cette région du monde. Elles ont une grande importance environnementale et une valeur économique considérable. En effet, outre leur rôle écologique, les forêts de tapias sont une source de produits forestiers non ligneux précieux. Elles sont notamment l’habitat des vers à soie et de nombreux fruits et champignons.
A Madagascar, la soie est un produit très important. Le pays est l’un des premiers producteurs mondiaux et de nombreuses familles vivent des métiers de la soie. Cependant, aujourd’hui, la mauvaise gestion des ressources naturelles met cette filière en danger.
Les forêts de tapias où vivent les vers à soie sont détruites par des pratiques culturales de l’abattis brûlis, de feux de brousse, ou par l’utilisation du bois de tapia comme bois de chauffe. De plus, les petits producteurs sont limités par leurs outils de travail souvent rudimentaires : filage manuel et tissage sur métier traditionnel.
HISTORIQUE
Depuis juillet 2010, Planète Urgence mène un projet de reboisement des forêts de tapias de la région Itasy. Sur place, les équipes travaillent avec les d’Organisations Communautaires de Base (OCB) à qui la gestion des forêts a été confiée. Elles sont formées à la restauration et à la bonne gestion des forêts de tapias.
Il s’agit de redonner vie à la forêt et de répondre aux besoins en bois d’oeuvre et de chauffe des villageois. En plantant des tapias ainsi que d’autres essences destinées à l’énergie, le projet répond à cette problématique.
Depuis 2010, 9 000 plants de tapias ont été plantés sur 10 hectares et 21 000 essences forestières ont été plantées sur 15 hectares. Pour renforcer la sécurité alimentaire des villageois, des arbres fruitiers ont également été mis en terre.
Le projet de protection
des forêts de tapias
Objectif de plantation 2015 : minimum 100 000 arbres.
L’objectif global du projet est de restaurer les forêts tout en accompagnant le développement économique des populations. Plus spécifiquement, les activités mises en œuvre en 2015 visent à relancer et à dynamiser la filière soie.
Les OCB sont formées à la production et à l’entretien de cocons de vers à soie ; huit cages d’élevage et une maison de ponte sont mises en place pour augmenter la production de matières premières (cocons de vers). La coopérative est également dotée en matériel plus performant permettant d’améliorer la qualité des produits issus de la transformation des cocons de vers à soie.
Enfin, les 25 femmes membres de la coopérative sont formées à la confection de nouveaux articles adaptés au marché actuel. Il faudra ensuite les accompagner dans la commercialisation par l’accès aux marchés nationaux et internationaux.